Veolia recrute ses talents en cybersécurité en respectant la parité
Par Bertrand Lemaire | Le | Gouvernance
Durant l’été, Républik IT Le Média republie les meilleurs podcasts des douze derniers mois.
Malgré la guerre des talents, Robert Amatu, directeur de la cybersécurité groupe de Veolia, a fait le choix de recruter dans son équipe en visant la parité.
Le groupe Veolia propose des solutions pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie. Il réalise un chiffre d’affaires de plus de 40 milliards d’euros et emploie plus de 200 000 personnes dans le monde. Pour numériser des services essentiels, vitaux, qui sont locaux par nature, Veolia doit apporter une réponse locale, grâce à une approche « copy and adapt » (copier et adapter). Veolia garde ainsi l’agilité locale tout en fédérant autant que possible pour gagner en effet de levier. Pour en garantir la cybersécurité, Veolia dispose de 80 équipes dédiées dans le monde. Dans le groupe, 150 personnes sont totalement dédiées à la cybersécurité dont une vingtaine au siège. CERT et SOC sont des équipes internes qui montent actuellement en puissance. Il s’agit autant de sécuriser le Legacy que les nouveaux systèmes.
Mais, dans l’ensemble de l’IT, la guerre des talents sévit, la demande étant supérieure à l’offre, en particulier dans la cybersécurité. Robert Amatu, directeur de la cybersécurité groupe de Veolia, a, malgré tout, fait le choix de recruter dans son équipe en visant la parité.
Il explique ici pourquoi, comment il s’y prend et avec quels bénéfices. Veolia a, en plus, la particularité d’avoir une activité locale par nature. Le niveau central propose donc des outils communs qui vont être adaptés localement.
Retrouvez ici l’interview complète de Robert Amatu.