Comment Transdev gère la difficulté du reporting CSRD dans un groupe décentralisé
Par Bertrand Lemaire | Le | Gouvernance
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Dans un groupe décentralisé, la data est d’autant plus complexe à collecter et traiter comme en témoigne Laurent Verhoest, Group Chief Data & Technology Officer de Transdev. C’est notamment le cas pour le reporting CSRD.
Transdev est un groupe privé opérateur de concessions de transports publics, toujours uniquement de personnes, en général par des délégations de services publics ou équivalent. Ses clients sont toujours des autorités organisatrices de transport (collectivités publiques en général) et le groupe est organisé à raison d’une entité juridique par concession. Le groupe est par nature très décentralisé. Transdev est présent dans 19 pays avec 100 000 collaborateurs et génère un chiffre d’affaires d’environ huit milliards d’euros (en forte croissance, avec une cible à dix milliards). Chaque jour, en moyenne, Transdev transporte dix millions de passagers dans sept zones principales : la France (environ 30 % de son activité), les Etats-Unis (environ 30 % également), l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas, l’Australie et le Canada.
La directive CSRD impose une collecte de nombreuses données pour créer un reporting environnemental. Le groupe Transdev étant très décentralisé, l’opération acquiert de ce fait une certaine complexité qu’il faut savoir traiter. Group Chief Data & Technology Officer de Transdev, Laurent Verhoest explique ici comment il relève ce défi.
Retrouvez ici l’interview complète de Laurent Verhoest.