Décideurs it

Comment l’IA aide TotalEnergies dans sa transition énergétique

Par Bertrand Lemaire | Le | Gouvernance

Durant l’été, Républik IT Le Média republie les meilleurs podcasts des douze derniers mois.
Issu des énergies fossiles, TotalEnergies se développe avec l’électricité et les énergies renouvelables. La data a un grand rôle à jouer dans cette transition comme l’explique Michel Lutz, group chief data officer de TotalEnergies et responsable data de la Digital Factory.

Michel Lutz est group chief data officer de TotalEnergies et responsable data de la Digital Factory. - © Républik IT / B.L.
Michel Lutz est group chief data officer de TotalEnergies et responsable data de la Digital Factory. - © Républik IT / B.L.

Le pétrolier Total est devenu l’énergéticien TotalEnergies. Ses 101 000 collaborateurs lui permettent de générer plus de 263 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Cette transformation est aussi une marche vers la transition énergétique. Certes, les trois branches traditionnelles du groupe existent toujours : exploration-production, raffinage-chimie et marketing-services. A celles-ci s’ajoutent désormais une branche gaz-énergies renouvelables-électricité à laquelle sont rattachés, outre la production d’électricité, le trading électrique, la distribution B2B/B2C (comme l’ex-Direct Energie en France) et la fabrication de batteries industrielles (issue du rachat de Saft). Et deux branches transversent servent tout le groupe : OneTech (qui regroupe les 3 400 ingénieurs, techniciens et chercheurs de la compagnie) et TGS (TotalEnergies Global Services) qui regroupe nos services partagés, notamment l’IT. La Digital Factory est également transverse. Le groupe veut atteindre la neutralité carbone en 2050 et être un acteur majeur de la transition énergétique.

Michel Lutz est group chief data officer de TotalEnergies et responsable data de la Digital Factory. Pour atteindre les objectifs stratégiques du groupe dans la transition énergétique, la data joue un très grand rôle, tout comme l’intelligence artificielle, même si Michel Lutz n’aime pas utiliser ce mot.

Retrouvez ici l’interview complète de Michel Lutz.